“Partner manager” pour YouTube et ambassadrice de marques, Zita d’Hauteville navigue entre l’univers de la tech et celui de la mode. Avec la complicité de Fendi, elle se prête au jeu de ce numéro spécial de CitizenK en incarnant quatre femmes qui, avant elle, se sont distinguées par leur audace, leur style ou leur vision.

CitizenK International : Vous avez un prénom d’impératrice et une rue parisienne porte votre nom, la charge n’est-elle pas trop lourde pour commencer dans la vie ?

Zita d’Hauteville : Enfant, j’étais plutôt mauvaise élève. Je suis hyperactive et ça n’aidait pas à l’école, ce qui m’a valu d’être envoyée en pension avec des religieuses et m’a complètement redressée ! Je me suis donnée à fond et j’ai finalement obtenu mon bac avec mention très bien ! Aujourd’hui, mon nom n’a pas vraiment d’importance, au contraire, c’est la façon dont je vais me détacher des étiquettes préconçues et dont je me développe en tant que femme (et individu) qui met l’accent sur sa carrière qui compte. Je ne saurais pas dire si mon nom m’a servie ou desservie, j’essaie de faire le maximum de choses par moi-même. Il y a un facteur chance dans la vie et j’ai conscience d’être privilégiée, mais je ne prends rien pour acquis et je me bats pour avoir ce que je veux.

*Cet article est issu de notre numéro d’Hiver 2023. Pour le lire dans son intégralité, vous pouvez vous procurer votre exemplaire en kiosque ou sur le site. Pour ne manquer aucun numéro, vous pouvez également vous abonner.*