Tout commence à Morteau. Dans le Jura. Pas ailleurs.
Les calibres Royal® et Initial® y naissent, à quelques kilomètres d’écart. Une horlogerie née à portée de main, façonnée par des gestes précis, ou chaque geste compte une exactitude absolue.
La Royale Paris ne dit pas l’heure. Elle sculpte le temps.
Après sa présentation à Watches & Wonders, elle revient en boutique, même silhouette, mais transfigurée. Plus nette. Plus affirmée, prête à se révéler au poignet.

Royale Paris Jour-Date-Lune

Trois visages. Trois humeurs. Opalin, bleu royal, vert profond. La lune se dédouble : Nord et Sud, deux hémisphères qui s’ignorent comme deux amants brouillés. Un ciel fendu, serti dans des guichets diamantés. La lumière s’y reflète, éclatante et délicate.
À l’intérieur, le Calibre Royal® : quatre jours d’autonomie. Rien de plus. Rien de moins. Une mécanique qui ne laisse rien au hasard, tic après tic.
Le cadran devient matière : textures grainées, surfaces sablées, reliefs creusés. La petite seconde tourne, obstinée, comme le battement discret d’un cœur. Le boîtier, fidèle à ses cornes, s’affûte encore. Une échancrure concave file tout autour du cadran. Plus qu’un objet à regarder, une matière à sentir.
Toujours animé par le Calibre Royal®, il fait rimer réserve de marche et précision extrême.

Royale Paris 36mm Trois aiguilles

La silhouette se resserre ensuite. 36 mm seulement. Une taille inédite pour la collection, qui s’ouvre pour la première fois aux poignets les plus fins. Fine, presque fragile 8,95 mm d’épaisseur mais inattaquable. Derrière cette retenue, le Calibre Initial®. 65 heures de réserve de marche. Trois aiguilles sobres, qui disent l’essentiel avec une élégance contenue.
Et comme si cela ne suffisait pas, la Royale Paris s’autorise désormais la métamorphose. Alligator, cuir, caoutchouc. Bientôt métal. Elle change de peau à chaque instant, selon l’heure, l’humeur, la main qui la porte.
De Morteau au poignet, le temps n’est plus un chiffre : il se vit, il se ressent.