Paris regorge d’hôtels de luxe. Mais Maison Barrière Vendôme ne joue pas dans la même cour. Elle ne se contente pas d’être élégante, raffinée, ou même exclusive : elle raconte une histoire. Celle des femmes qui ont façonné la Ville Lumière avec intelligence, courage et panache. Ici, le luxe n’est pas un décor. C’est un manifeste.
Installée entre la Place Vendôme et les Jardins des Tuileries, cette pépite ultra-confidentielle ne compte que 26 clés : chambres, suites et appartements, conçus comme des écrins où l’art, l’histoire et l’audace dialoguent en toute liberté.
Pensé par Corinne Evens, femme de tête et créatrice de la maison de joaillerie Goralska, ce sanctuaire est un hommage vibrant aux grandes figures féminines qui ont osé briser les règles et qui ont, d’une manière ou d’une autre, marqué Paris. On y dort dans la Suite George Sand, un cocon brodé d’influences XVIIIe, ou dans la Suite Sarah Bernhardt, théâtrale, dramatique et follement contemporaine.
L’architecte Daniel Jibert signe une partition d’une justesse rare, jonglant entre boiseries Versailles, velours charnel, marbre onyx et terrazzo nacré. Ici, chaque détail compte, chaque texture raconte une histoire de pouvoir et de liberté, une histoire de Paris et de ses audacieuses.
Frida, une invitation au voyage et à l’indépendance
Parisienne. Décomplexée. Électrique. Frida, le bar-restaurant perché au premier étage, ne fait pas dans le convenu. Son ADN ? Une cuisine aux accents sud-américains – vibrante, sensuelle, twistée d’un grain de folie – et une sélection de cocktails à tomber, mixant ingrédients rares et créations signatures.
Dès l’entrée, on comprend que ce n’est pas un simple restaurant d’hôtel. C’est une destination. On s’installe au bar pour siroter un mezcal fumé, ou sous la véranda ultra-feutrée, qui s’ouvre sur un patio secret, un luxe absolu dans l’effervescence parisienne.
Un spot chic mais jamais guindé, à l’image de Frida Kahlo, dont l’esprit insoumis plane dans ce lieu où la couleur et l’audace règnent en maîtres.
Le groupe Barrière : l’art du luxe, version 2025
Si Barrière incarne le luxe à la française depuis plus d’un siècle, il ne s’endort jamais sur ses lauriers. Maison Barrière Vendôme en est la preuve : loin des palaces formatés, cette nouvelle adresse propose une vision du luxe plus confidentielle, plus personnelle, plus radicale.
Joy Desseigne-Barrière et Alexandre Barrière, la quatrième génération à la tête du groupe, réinventent l’hospitalité avec une approche plus intimiste, plus affûtée. Ici, on ne montre pas son luxe. On le vit.
Comme le souligne Grégory Rabuel, CEO du groupe Barrière :
“Le luxe, aujourd’hui, ce n’est plus l’ostentation. C’est l’expérience, l’émotion, l’authenticité. Maison Barrière Vendôme en est la parfaite incarnation.”
Et si le vrai chic, en 2025, c’était l’ultra-exclusivité ?
Une adresse réservée aux initiés
Maison Barrière Vendôme ne se visite pas. Elle se vit. Dès que l’on franchit ses portes, on a le sentiment d’appartenir à un cercle d’initiés – une invitation à vivre Paris autrement. À l’abri du tumulte, à l’écart des palaces trop visibles, dans un espace où chaque détail a été pensé pour celles et ceux qui savent.
Et ce luxe ne se limite pas aux lieux. Il se ressent évidemment dans l’attention du personnel, dont le service si soigné et personnalisé vous galvanise et transforme chaque séjour en une expérience unique. Présents avec justesse, attentifs dans les moindres détails, sans jamais être envahissants, ils incarnent une élégance rare : celle du savoir-faire et du sur-mesure.
Une nuit ici, c’est un passage dans un monde parallèle où l’on croise Marguerite Yourcenar, Mata Hari, Audrey Hepburn ou bien Nina Simone, où l’on boit un cocktail sous un cerisier, où le silence devient un luxe et où l’élégance se vit en toute intimité.
Un bijou brut, un manifeste pour une nouvelle idée du luxe.
Paris a un nouveau secret. Encore faut-il en avoir la clé.
Maison 17 rue Thabor, 75001 Paris