Il y a plus d’un siècle, Louis Vuitton dessinait sur ses malles un motif d’équilibre et de mouvement : le Damier. Carré après carré, il racontait déjà la promesse d’un voyage. Aujourd’hui, ce symbole glisse de la toile à la peau pour devenir bijou : une ligne vivante, un souffle d’or qui épouse le rythme du corps.
Pour ce nouveau chapitre, la collection Le Damier de Louis Vuitton s’enrichit d’une déclinaison en or rose, qui rejoint les versions en or jaune et blanc. Deux bagues, deux bracelets, un pendentif, des créoles et un collier exclusif composent ce nouvel alphabet de lumière. Trois colliers maîtres, déclinés en 3,5, 5 et 7 mm, orchestrent la cadence.
Chaque maillon, poli, serti, puis assemblé à la main, se déplace avec la précision d’un mouvement horloger. Sous les doigts, la souplesse étonne : le bijou suit les lignes du corps, épouse la chaleur du geste et semble respirer avec celui ou celle qui le porte.
Cette souplesse rare, obtenue par un assemblage millimétré et un fermoir presque invisible, efface toute rigidité. Le Damier ne se pose pas : il s’y fond. L’or glisse, les diamants scintillent. Les carrés d’or poli alternent avec les diamants ronds, leurs reflets glissant sur la surface et épousant délicatement les formes, comme si la collection elle-même dialoguait avec la précision du geste et la sensualité du contact, faisant battre le Damier au même rythme que le corps
L’or n’habille plus : il effleure. Les diamants captent le moindre souffle, et le Damier devient une seconde peau d’or et de lumière.
Unisexe par essence, la ligne se prête à toutes les combinaisons. L’or rose nuance, l’or blanc éclaire, l’or jaune réchauffe. Superposer, mélanger, réinventer : chacun compose sa propre version du Damier.
Sous la lumière, le bijou semble vibrer. Il ne se contente pas de briller : il vit. Il accompagne la peau et le geste, au rythme du temps et de l’artisan qui l’a façonné.
Le Damier de Louis Vuitton poursuit son voyage, de la toile aux gestes de la peau, traçant ses carrés d’or et de lumière à travers le temps, pour une aventure qui se vit autant qu’elle se porte.